Bédés – Framabook https://archives.framabook.org Le pari du livre libre Thu, 08 Oct 2020 18:11:32 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9 Grise Bouille — Tome IV https://archives.framabook.org/grise-bouille-tome-iv/ Thu, 08 Oct 2020 17:54:15 +0000 https://archives.framabook.org/?p=4682 Lire la suite­­]]> Gee revient dans la quatrième dimension !

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En quoi le profilage de code peut-il nous aider à lutter contre la fraude fiscale  ? Quel est le rayon d’un atome de Savoie  ? Faut-il refuser de rendre visite à des personnes qui possèdent une enceinte connectée  ? La société industrielle va-t-elle bientôt s’effondrer  ?

Partagé entre humour, vulgarisation scientifique et satire politique, le quatrième tome de Grise Bouille vous propose de répondre à toutes ces questions et bien d’autres sous forme de bandes dessinées à lire et à partager librement  !

Voir la page du projet sur Grisebouille.net.


Auteur : Simon Giraudot
Titre : Grise Bouille, tome 4
Licence : CC-By-Sa
Prix : 15 EUR
ISBN : 979-10-92674-33-0
Première édition : octobre 2020, Framasoft
Format : broché – 155 x 200 mm
Nombre de pages : 307


photo Simon Giraudot
Gee est docteur en informatique (généraliste conventionné secteur 42), mais en dehors des heures de consultation, il est aussi auteur. Entre deux bandes dessinées stupides, il écrit des textes de fiction, toujours sous licence libre.
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GKND. L’intégrale https://archives.framabook.org/gknd-lintegrale/ Fri, 27 Sep 2019 17:46:21 +0000 https://archives.framabook.org/?p=4586 Lire la suite­­]]> Les trois p’tits gars font leur retour : totalement geeks !

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La série GKND raconte les péripéties de trois étudiants passionnés de sciences et d’informatique, personnages issus du Geektionnerd, une bande dessinée humoristique « geek » diffusée librement sur Internet entre 2009 et 2014.

Des soirées étudiantes au Club Info, des bars de Grenoble aux massifs du Vercors, suivez leurs aventures qui les amèneront jusqu’à voyager dans le temps !

Ce livre regroupe l’intégrale des 5 tomes de GKND, remis en page dans un format plus compact et plus lisible.


Auteur : Simon Giraudot
Titre : GKND, L’intégrale
Licence : CC-By-Sa
Prix : 15 EUR
ISBN : 979-10-92674-26-2
Première édition : septembre 2019, Framasoft
Format : broché – 155 x 200 mm
Nombre de pages : 361


photo Simon Giraudot
Gee est docteur en informatique (généraliste conventionné secteur 42), mais en dehors des heures de consultation, il est aussi auteur. Entre deux bandes dessinées stupides, il écrit des textes de fiction, toujours sous licence libre.
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Grise Bouille — Tome III https://archives.framabook.org/grise-bouille-tome-iii/ Thu, 23 May 2019 18:37:06 +0000 https://archives.framabook.org/?p=4562 Lire la suite­­]]> Les gribouillages hétéroclites de Gee sont de retour !

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Quel rapport y a-t-il entre Boby Lapointe et le système hexadécimal ? Comment réaliser une bonne comédie romantique ? Que se passerait-il si Nounours se syndiquait contre le Marchand de Sable ? Pourquoi supprimer Pôle Emploi réglerait le problème du chômage ?

Partagé entre humour, vulgarisation scientifique et satire politique, le second tome de Grise Bouille vous propose de répondre à toutes ces questions et bien d’autres sous forme de bandes dessinées à lire et à partager librement !

Voir la page du projet sur Grisebouille.net.


Auteur : Simon Giraudot
Titre : Grise Bouille, tome 3
Licence : CC-By-Sa
Prix : 15 EUR
ISBN : 979-10-92674-25-5
Première édition : mai 2019, Framasoft
Format : broché – 155 x 200 mm
Nombre de pages : 303


photo Simon Giraudot
Gee est docteur en informatique (généraliste conventionné secteur 42), mais en dehors des heures de consultation, il est aussi auteur. Entre deux bandes dessinées stupides, il écrit des textes de fiction, toujours sous licence libre.
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Grise Bouille — Tome II https://archives.framabook.org/grise-bouille-tome-ii/ Tue, 16 May 2017 07:30:32 +0000 https://archives.framabook.org/?p=4244 Lire la suite­­]]> En bonus : l’inoubliable histoire du chevalier à la fronde et du dragon !

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Pourquoi le bug de l’an 2000 était-il moins inquiétant que celui de l’an 2038 ? Quel est le point commun entre un mail urgent et l’État d’Urgence ? Pourquoi le lapin a-t-il sonné chez le grand cerf ? Qu’est-ce qu’une citation apocryphe ?

Partagé entre humour, vulgarisation scientifique et satire politique, le second tome de Grise Bouille vous propose de répondre à toutes ces questions et bien d’autres sous forme de bandes dessinées à lire et à partager librement !

Grise Bouille, Tome II compile la majeure partie des planches de l’année 2016 tirées du blog Grise Bouille.


Auteur : Simon Giraudot
Titre : Grise Bouille
Licence : CC-By-Sa
Prix : 15 EUR
ISBN : 979-10-92674-16-3
Première édition : mai 2017, Framasoft
Format : broché – 155 x 200 mm
Poids : 400 gr.
Nombre de pages : 301


photo Simon Giraudot
Gee est docteur en informatique (généraliste conventionné secteur 42), mais en dehors des heures de consultation, il est aussi auteur dessinateur de bandes dessinées. Il publie de nombreux «  gribouillages  » en ligne, parce que quitte à écrire des bêtises, autant qu’elles soient lues  !
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Grise Bouille — Tome I https://archives.framabook.org/grise-bouille-tome-1/ Sat, 05 Mar 2016 20:31:24 +0000 http://archives.framabook.org/?p=4139 Lire la suite­­]]> Après ça, vous n’achèterez plus que des Chocopains !

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Quelle est la différence entre un bit et un octet  ? Pourquoi le mammouth a-t-il disparu  ? Pourquoi continue-t-on à acheter des croissants  ? Pourquoi «  ailleurs, c’est pire  » n’est-il pas un argument  ?

Partagé entre humour, vulgarisation scientifique et satire politique, le premier tome de Grise Bouille vous propose de répondre à toutes ces questions et bien d’autres sous forme de bandes dessinées à lire et à partager librement  !

Grise Bouille, Tome I compile la majeure partie des planches de l’année 2015 tirées du blog Grise Bouille.


Auteur : Simon Giraudot
Titre : Grise Bouille
Licence : CC-By-Sa
Prix : 15 EUR
ISBN : 979-10-92674-11-8
Première édition : mars 2016, Framasoft
Format : broché – 155 x 200 mm
Poids : 390 gr.
Nombre de pages : 263


photo Simon Giraudot
Gee est docteur en informatique (généraliste conventionné secteur 42), mais en dehors des heures de consultation, il est aussi auteur dessinateur de bandes dessinées. Il publie de nombreux «  gribouillages  » en ligne, parce que quitte à écrire des bêtises, autant qu’elles soient lues  !
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Calendrier Mimi & Eunice https://archives.framabook.org/calendrier-mimi-eunice/ Sat, 07 Dec 2013 18:21:03 +0000 http://archives.framabook.org/?p=3934 Lire la suite­­]]> Cette année vous allez apprécier l’humour caustique d’un comic strip libriste.

calendrier mimi et eunice

Mimi & Eunice, c’est d’abord de l’humour grinçant sur des thèmes libristes et c’est à Nina Paley que vous le devez. Non seulement parce qu’elle a de l’humour et du talent, mais surtout parce qu’en activiste de la cause du Libre elle a mis ses créations artistiques sous Copyheart avec cette magnifique invitation :

 ? Copying is an act of love. Please copy & share.

(Copier est un acte d’amour. Veuillez copier et partager.)

Les images du calendrier 2014 sont extraites du livret Mimi & Eunice’s Intellectual Pooperty.

Nina Paley, photo via Wikimedia (licence CC BY-SA 3.0)
Nina Paley, photo via Wikimedia (licence CC BY-SA 3.0)

extrait calendrier mimi et eunice

Une quinzaine de contributeurs ont participé à la traduction des textes et débattu des meilleurs choix pour trouver des équivalents, d’autres ont intégré les textes dans les bulles, puis réalisé une maquette de calendrier… et voici le résultat à votre disposition. Par ordre alphabétique de pseudonymes : Asta, Benoît, Calimaq, Elisa, Fredurb1, Goofy, Guillaume, Julien, Kinou, Lamessen, Martin, Pandark, peupleLà, Pouhiou, Slystone, Taratatach… et plusieurs Zanonymes. Un grand merci à tous !

Vous pouvez télécharger le .pdf et l’imprimer, vous pouvez l’offrir pour le nouvel an aux plus geeks de vos proches, vous pouvez aussi bien sûr récupérer les images et les textes et utiliser la BD sur vos publications, fabriquer vous-même un calendrier à votre goût, etc.

Ce calendrier 2014 est notre petit cadeau de fin d’année, notre façon de remercier tous ceux qui soutiennent Framasoft de toutes les façons possibles : une contribution, un message amical, un don financier.

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GKND (tome 5) : How I met your sysadmin https://archives.framabook.org/gknd-tome-5-how-i-met-your-sysadmin/ Thu, 10 Oct 2013 17:07:56 +0000 http://archives.framabook.org/?p=3620 Lire la suite­­]]> Cinquième tome des aventures de notre héro des temps modernes, romantique et fan de technologies. De l’humour geek mais pas réservé aux initiés.

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Déjà, ceci n’est pas une histoire d’amour. Ceci n’est pas non plus une histoire de fesse(s). Si je vous ai réunis aujourd’hui les enfants, c’est pour vous raconter comment j’ai rencontré votre Sys-Admin.

Depuis plus de 3 ans qu’ils se tournent autour sur le blog geektionnerd.net… il était temps que l’on sache comment la Geekette et le Geek se sont mis ensemble ! Gee ne nous laisse pas sur notre faim et conclut cette série de BD libres (publiées dans la collection Framabook) dans un romantisme farouchement moderne et déjouant tous les clichés. L’humour, omniprésent, souligne les émotions et ancre l’histoire d’amour dans une fine observation de nos timidités, maladresses et autres adorables fautes d’égo… Il en devient dommage de devoir dire au revoir à ces personnages tant ils sont attachants ! Une BD libre à partager avec qui aime geeker, draguer et se marrer…

Le cinquième tome du GKND conclu cette série de bédés libres éditées par Framasoft

Titre : Geektionnerd (tome 5). How I met your sysadmin
Licence : Creative Commons By Sa
Prix : 12 EUR
ISBN : 979-10-92674-02-6
Première édition : Octobre 2013, Framasoft
Format : 210 x 270 mm
Nombre de pages : 50


photo Gee
En choisissant un tel titre pour le 5e tome des aventures du GeeKtionNerD, Gee (Simon Giraudot) annonce clairement la couleur de la comédie romantique. Un genre dont l’auteur à l’humour iconoclaste se joue dès les premières cases, annonçant via ses personnages : « Bon, déjà, ceci n’est pas une histoire d’amour. J’aime mieux vous prévenir de suite. Si c’est ce que vous attendiez, circulez y’a rien à voir. »

Première surprise, ce n’est pas le Geek, mais la Geekette qui est aux commandes de la narration. Et ce n’est que le premier des codes que Gee va bousculer, jouant de manière taquine avec nos présupposés et les lois de la narration. Réinventer la rencontre amoureuse au pays des féru(e)s d’informatique, il fallait l’oser… Gee relève le défi avec la malice et l’humour qu’on lui connait.

Interview de l’auteur

(Réalisée par Pouhiou)

Alors débarrassons-nous de LA question à laquelle tu n’échapperas pas  : à quel point cette histoire est-elle autobiographique  ? Non parce que, ça sent le vécu, quand même  ?

Comme dans les autres bouquins, je puise pas mal d’inspiration dans ma propre vie, mais il y a aussi une grande part de fiction. La nuit blanche pour finir un projet qui a traîné pendant des semaines, j’ai pratiqué, la procastination devant des séries stupides aussi. Et pour la fameuse «  friend zone  », c’est du 100 % vécu. Hé oui… Mais on est beaucoup à être passés par là, non  ? Sauf que ça finit rarement comme dans cette histoire  !

Par contre, et c’est pourtant l’élément principal de l’histoire, je n’ai jamais fréquenté de geekette. Mais après tout, c’est parfois plus enrichissant d’être avec quelqu’un qui ne vient pas du même monde. Et puis ça fait une personne de plus à rallier à la cause des barbus/libristes  :)

Pour ce dernier volume, tu as décidé de bousculer les codes, en confiant par exemple la narration à la Geekette… pourquoi ces choix  ?

J’ai eu très tôt l’idée de faire cette histoire avec ce titre et cette couverture (oui, quand même). Après, au moment de me pencher sérieusement sur le scénario, j’avais plusieurs angles d’approche  :

  • L’écrire comme un tome de conclusion, donc y aller à fond et faire une fin digne de ce nom à la série  ;
  • L’écrire avec un narrateur dans le futur, à la manière de How I met your mother justement  ;
  • Reprendre l’histoire des 4 premiers tomes mais du point de vue de la Geekette.

Finalement, n’arrivant pas à me décider sur un angle, j’ai décidé de mélanger les trois  ! C’est donc un tome de conclusion raconté depuis le futur par la Geekette. Il reprend les éléments des 4 premiers tomes (même s’il ne se limite pas à ça, contrairement à mon intention originale, puisqu’il offre aussi la suite et fin de l’histoire).

Avoir la Geekette comme narratrice, ça permet de revivre les anciennes aventures de son point de vue. C’est un personnage un peu compliqué, ses actions et ses pensées sont parfois diamétralement opposées  : je trouvais cela amusant de revoir ses actions passées à la lumière de ce qu’elle pense véritablement.

Cela veut-il dire que tes personnages (d’ordinaire chastes et polis) vont se mettre à jurer  ? Aura-t-on droit à une scène de sexe  ?

Non, ça reste tout public  ! Ça n’a jamais été officiel, mais je limite toujours les mots grossiers dans mes bandes dessinées. Ils sont soit remplacés par des symboles abscons du genre #£&*# ! (un grand classique), soit gribouillés pour qu’on ne puisse pas les lire directement mais les deviner. Ce tome ne déroge pas à la règle.

Pour la scène de sexe, je pense que la couverture offre une partie de la réponse… Mais de même, ça reste suggéré. Je n’ai pas été jusqu’à la jouer façon «  série puritaine américaine  » où les femmes font l’amour en gardant leur soutif (mouarf), mais il n’y aucune image interdite aux mineurs dans le livre  ;)

On est loin du vieux clicheton où le super héros moustachu sauve la princesse cruche en rose… Dirais-tu qu’il s’agit d’une BD féministe  ?

J’ai essayé de rester loin des clichés, que ce soit le geek asocial qui ne connait que des filles en .JPG ou le héros à 2 balles qui finit par avoir la fille en «  prouvant sa valeur  » et en «  montrant qu’il en a  » : ce sont juste deux jeunes adultes encore un peu ados dans leurs têtes qui ne savent pas trop comment s’y prendre.

Une BD féministe  ? Je ne sais pas, elle n’est pas militante en tout cas. Dans mon cas, le féminisme n’est pas une cause, ça fait juste parti des principes selon lesquels je vis, au même titre qu’être contre le racisme ou pour la paix dans le monde (et pour les bisounours et les poneys, oui je sais). Ça ne veut pas dire que la BD est antiraciste ou pacifiste, mais puisque l’auteur l’est, ça peut en être imprégné. Après, écrire d’un point de vue féminin, c’est une expérience intéressante : tu te poses des questions comme «  comment je réagirais dans cette situation si j’étais une fille  ?  ». Au final, je ne sais pas si mon texte sonne juste, mais j’ai essayé de rester loin de la caricature sans en rajouter dans l’autre sens.

C’est le dernier tome de GKND… Cela veut-il dire qu’on ne reverra plus jamais ces personnages  ?

Non, bien sûr. Les personnages reviennent de toute façon régulièrement dans les articles quotidiens du Geektionnerd. La fin de cette saga, c’est surtout la fin d’une forme (une BD à trois images par page et beaucoup de texte) dans laquelle je commençais à me sentir un peu à l’étroit. Je ne m’interdis pas du tout de raconter d’autres histoires sur ces personnages, sous une forme ou une autre. J’ai quelques idées, mais rien de concret pour le moment.

Après, je rappelle que ces œuvres sont libres, ce qui signifie que n’importe qui peut s’emparer de l’histoire et la continuer à sa guise. Avec plus de 1500 articles et 5 livres, la base de dessins du Geektionnerd commence à être fournie. Alors vous savez ce qu’il vous reste à faire…

Et tu as des projets pour la suite  ?

Des tonnes, je croule sous les projets (le tout étant de venir à bout de quelques-uns, pas toujours simple quand on veut garder une vie sociale et une vie professionnelle). Le Geektionnerd reste toujours actif. J’ai aussi Superflu, ma « jolie-BD-pas-geek », qui me prend du temps mais progresse tranquillement (11 épisodes au moment où j’écris ces lignes) : ça, c’est vraiment un projet qui me tient à cœur… Il y a les projets avec Framasoft, qui sollicitent parfois mes compétences de dessinateur. Enfin, il est aussi possible que je réalise prochainement (comprendre : je ne sais pas quand) une BD dont je ne serai pas scénariste (uniquement dessinateur), mais c’est encore un projet top secret  ;)

Enfin, en vrac : des histoires écrites (nouvelles voire romans), des bandes dessinées « one shot » (histoire unique hors-série), de la musique… Mais je m’arrête là car je diverge (et dix verges, c’est énorme, comme disait Pierre…).

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GKND (tome 4) : Au temps pour moi https://archives.framabook.org/gknd-tome-4-au-temps-pour-moi/ Wed, 21 Nov 2012 13:26:25 +0000 http://archives.framabook.org/?p=3899 Lire la suite­­]]> Du voyage dans le temps à la question de la propriété intellectuelle  : le GKND, c’est vraiment de la science-fiction  !

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Pour cette 4e aventure, Gee (Simon Giraudot) met sa verve et son humour au service d’un conte à la morale joyeusement libertaire. Dès les premières cases, le narrateur nous prévient  : «  L’histoire que je vais vous raconter aujourd’hui n’est pas une histoire comme les autres. Elle fait figure d’exception dans le code source de ma vie.  »

Le mot est lâché : le 4e tome du Geektionnerd nous entraîne dans une aventure exceptionnelle. Au programme  : voyage dans le temps over-clocké, redémarrage de systèmes totalitaires, et compilation de piques sur les brevets et la propriété intellectuelle.

Depuis 3 ans qu’il tient le blog geektionnerd.net, Gee a eu le temps d’affiner sa plume. Sur son site, Geektionnerd.net, il alterne des planches de courtes définitions, et les longs récits publiés dans la collection Framabook. Cette 4e histoire est forte de cette expérience. Les références geeks sont présentes et pointues, tout en restant accessibles pour l’internaute lambda. Trouvant un bel équilibre entre narration et humour, le récit de Gee sort ses héros de leur quotidien, et séduit par son audace. Une BD libre à lire pour réfléchir, pour rire et pour le plaisir.


Titre : Geektionnerd (tome 4). Au temps pour moi
Licence : Creative Commons By Sa
Prix : 12 EUR
ISBN : 978-2-9539187-8-6
Première édition : Novembre 2012, Framasoft
Format : 210 x 270 mm
Nombre de pages : 44


photo Gee
Simon Giraudot est l’auteur du blog Geektionnerd.net et sévit aussi sur le Framablog, où son univers et son style ne manquent jamais d’apporter un brin d’humour geek sans toutefois se réserver aux seuls initiés.

Le format des articles de blog ne permettant pas un développement approfondi de ces personnages, Simon Giraudot a décidé de livrer page par page les planches qui formèrent petit à petit la série GKND, encouragé par les commentaires de ses lecteurs.


Interview de l’auteur

Par Pouhiou

Dans les tomes précédents, tu dépeignais la vie quotidienne de tes personnages (journée type, vacances au ski, aller voir une conférence, etc…) Pour ce 4e tome, on peut dire que tu les as sorti de l’ordinaire ! Comment cela s’est fait ?

C’est une histoire que j’avais en tête depuis pas mal de temps, ça a même failli être celle du tome 2. Et puis finalement, j’ai préféré faire quelques histoires plus simples et classiques avant, histoire de bien poser le décor et de me faire la main : j’avais un peu peur de me lancer dans une histoire qui insisterait trop sur l’aspect « aventure » et qui passerait à côté de l’humour, qui est quand même le but principal de la série. Finalement, ça c’est avéré moins compliqué que ce que je pensais. Le fait de pouvoir inventer n’importe quoi (puisqu’on est dans un futur forcément hypothétique) m’a en fait aidé à raconter encore plus de bêtises que dans les autres tomes… Vive la SF !

Sans rien spoiler, l’avenir que tu anticipes n’est pas franchement tout rose… D’où te vient ce pessimisme ?

Je n’appellerais pas cela du pessimisme mais du réalisme (mais là, je me rends compte que cette phrase est typiquement pessimiste alors tu as peut-être raison). Bon, j’ai un peu forcé le trait, mais ce futur, c’est un peu celui qu’on craint tous dans le milieu du libre (et peut-être en dehors aussi). On a l’impression de n’avoir aucun pouvoir sur la direction que prennent nos pays, nos continents, notre monde… Ce n’est pas juste une histoire de crise, tout le monde sent qu’il n’y a plus rien à attendre de nos politiciens qui ont soldé depuis longtemps tous leurs pouvoirs à des organisations mondialisée incontrôlables et intouchables, et en même temps personne ne sait vraiment quoi faire pour nous sortir de là (on s’indigne, on occupe Wall Street, et puis après ? Quoi ? Qu’est-ce qu’on fait ?).

Le mouvement du libre (logiciel et culture) est d’ailleurs un des rares domaines qui nous donne un peu d’espoir, parce qu’on a vraiment l’impression de pouvoir faire changer les choses, même si c’est long et compliqué. Mais même là, on a parfois l’impression de lutter contre des moulins à vent… On a réussi à faire enterrer ACTA par exemple, mais est-ce que ça va vraiment changer quelque chose ? Les lobbies du showbiz feront pousser 15 autres traités du même type, il y aura toujours un moyen de nous faire avaler ce qu’on ne veut pas.

Voilà, le pessimisme ici, c’est l’impression d’être embarqué dans une grande machine à broyer tout ce qui était positif dans notre société occidentale (libertés individuelles, démocratie, etc.), et de ne pas avoir la moindre idée de comment l’arrêter… Surtout que l’état d’esprit général est plutôt à l’apathie, il n’y a même pas d’esprit de révolte qui plane, juste une espèce de résignation sourde : « espérons juste que ça ne se dégrade pas trop vite pour qu’on profite quand même de tout ça tant que ça tient encore ».

Pour autant, traiter de tels sujets (libertés individuelles, etc…) rend-il ce tome plus “militant” que les précédents ?

Peut-être. Le tome 3 était déjà engagé à sa manière en faisant l’opposition entre les logiciels libres et privateurs. Le tome 4 étend cet engagement à la problématique libre/privateur globale (culture, communications, etc.). Un peu comme Framasoft qui a commencé comme un annuaire de logiciel libre et qui est devenu au fil du temps généraliste sur le libre.

Mais je n’ai pas pour autant l’impression de faire de la BD engagée. J’ai des convictions assez fortes dans certains domaines, cela se ressent sans aucun doute sur les écrits. Je n’ai pas la prétention de faire du militantisme, mais une éventuelle neutralité de ton serait forcée, donc j’écris comme ça vient.

Allez, dis-nous : ton personnage va-t-il enfin séduire la Geekette dans cette histoire ?

Aaaah je ne veux pas spoiler ! La question est d’ailleurs complexe, puisque le livre met en scène deux versions du même univers — le présent et le futur — et rien ne dit que les personnages ont les mêmes relations à ces deux moments distincts… Mais ce qui est sûr, c’est que les deux personnages ne se verront plus de la même manière après cet épisode !

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GKND (tome 3) : Licence de la vie https://archives.framabook.org/gknd-tome-3-licence-de-la-vie/ Fri, 02 Mar 2012 12:44:32 +0000 http://archives.framabook.org/?p=3897 Lire la suite­­]]> Logiciel libre et marketing sont ils conciliables  ? Notre héro de geek est-il condamné errer sur le long chemin des libertés logicielles  ?

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Les définitions illustrées du Geektionnerd, placées sous licence Creative Commons, réunissent depuis plusieurs années des lecteurs réguliers. Ces billets font intervenir un héros des temps modernes, appelé «  le Geek  », issu d’un mélange entre l’inspiration personnelle de l’auteur et sa biographie d’informaticien passionné de sciences et de nouvelles technologies. Cependant, d’autres personnages sont venus apporter une variation du même archétype  : «  le Nerd  » (avec les lunettes), que l’on pourrait définir comme une sorte de geek asocial, et plus tard «  la Geekette  », une version féminine (mais pas forcément féministe).

Nos trois amis sont en période de partiels et ont pour projet d’assister à une conférence du célèbre Richard Stallman. Sauf que l’instigateur du mouvement du logiciel libre ne fait pas l’unanimité chez leurs camarades d’amphi et qu’un certain «  Corporate Club  » va tout faire pour leur mettre des bâtons dans les roues (au sens propre comme figuré).


Titre : Geektionnerd (tome 3). Licence de la vie
Licence : Creative Commons By Sa
Prix : 12 EUR
ISBN : 978-2-9539187-6-2
Première édition : Mars 2012, Framasoft
Format : 210 x 270 mm
Nombre de pages : 54


photo Gee
Simon Giraudot est l’auteur du blog Geektionnerd.net et sévit aussi sur le Framablog, où son univers et son style ne manquent jamais d’apporter un brin d’humour geek sans toutefois se réserver aux seuls initiés.

Le format des articles de blog ne permettant pas un développement approfondi de ces personnages, Simon Giraudot a décidé de livrer page par page les planches qui formèrent petit à petit la série GKND, encouragé par les commentaires de ses lecteurs.


Interview de l’auteur

Par Julien

FB – Raconte-nous un peu ce qui arrive à nos trois geeks préférés dans cette nouvelle aventure ?

Gee – L’histoire se passe à peu près 4 mois après la précédente. Les trois amis sont en période de partiels et ont pour projet d’assister à une conférence du célèbre Richard Stallman. Sauf que l’instigateur du mouvement du logiciel libre ne fait pas l’unanimité chez leurs camarades d’amphi et qu’un certain « Corporate Club » va tout faire pour leur mettre des bâtons dans les roues (au sens propre comme figuré).

FB – Penses-tu que l’on pourra réconcilier le « Corporate Club » avec les libristes ? Le marketing ne serait-il pas finalement l’avenir du logiciel libre ?

Gee – Le « Corporate Club » est le Némésis des trois protagonistes : en cela, il est opposé en tous points à leur philosophie libriste. Ce qui le rend forcément un peu caricatural. Le mot corporate est une pirouette pour ne pas cibler une entreprise particulière (Microsoft ou Apple, par exemple). Ce que je vise, c’est l’état d’esprit selon lequel la valeur d’un service informatique ne se peut se créer qu’en dissimulant son fonctionnement ou qu’en exerçant un contrôle sur l’utilisateur.

En soit, ce n’est donc pas une charge contre les entreprises en général. Certaines savent très bien concilier logiciel libre et marketing, on pourrait citer Red Hat, qui fait beaucoup pour GNU/Linux, ou même Google dans ses bons jours (on aimerait qu’il soit plus souvent dans ses bons jours, d’ailleurs). Mais le chemin est long, la plupart des entreprises acceptent l’idée de l’Open Source mais pour des raisons purement opportunistes : bonne image, maintenance bon marché si les utilisateurs rapportent les bugs, voire développeurs bénévoles si une communauté se créer… C’est déjà un pas en avant, mais c’est mettre de côté l’aspect éthique du logiciel libre qui est, à mon avis très personnel et très subjectif, fondamental. Après, est-ce qu’une entreprise peut adopter une telle éthique pour autre chose que « faire de la com’ », c’est toute la question…

FB – Tu trolles beaucoup sur Java dans ce tome 3. Un mauvais souvenir de tes études ?

Gee – Héhé, en quelque sorte. Quand tu as appris à programmer avec du bon vieux C, le choc est rude lorsque tu as ton premier cours de Java. J’ai souvenir des interfaces Swing où il fallait faire un nombre incalculable d’allocations mémoire pour poser 3 pauvres boutons… Et l’impression d’être poussé à programmer comme un sagouin, sans se soucier de ce qu’il se passe sous le capot. Ça a aussi des avantages, bien sûr, mais faciliter la vie du développeur ne veut pas dire faciliter celle de l’utilisateur.

C’est un peu facile, mais j’aime assez tacler Java sur sa lourdeur, sa lenteur, sa gestion de la mémoire. etc. En général les lecteurs comprennent bien, c’est une source inépuisable de vannes. Mais je ne voudrais pas cracher dans la soupe, Java, c’est aussi un outil génial pour faire des programmes multi-plateforme, sans parler de l’API qui est énorme et bien documentée. Qui aime bien châtie bien !

FB – Alors, dis-nous, est-ce que le geek va finalement réussir à se taper la geekette dans cet épisode ?

Gee – Haaaa ça… Il faudra lire le bouquin pour le savoir ! Oui je sais, ça fait argument de vente foireux, surtout quand le PDF est gratos. Je te répondrais par une autre question : est-ce que Ted rencontre la mère de ses enfants dans l’épisode 3 d’How I met your mother  ?

FB – J’imagine que le prochain tome est déjà en préparation. Après une aventure en montagne et une conférence de RMS, que peut-il encore arriver à nos héros ? Iront-ils manifester contre ACTA après avoir été obligés d’aller voir sur Facebook si un événement est organisé dans leur ville ?

Gee – Effectivement, j’ai commencé à écrire le scénario du tome 4 il y a quelques jours (j’avais le synopsis dans un coin de ma tête depuis un bon moment). Et il peut arriver encore beaucoup de choses à nos 3 héros, tu n’as pas idée… Allez, un tout petit spoiler : l’histoire du prochain tome risque de flirter très légèrement avec de la science-fiction. Et c’est marrant que tu parles d’ACTA, car sans y être totalement dédié, ce tome abordera ce genre de problématique. Après un tome 3 très axé sur le logiciel libre, un tome 4 sur la culture libre en général ? Ce n’est pas à l’équipe de Framasoft que j’apprendrai que « ce serait peut-être l’une des plus grandes opportunités manquées de notre époque si le logiciel libre ne libérait rien d’autre que du code »…

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GKND (tome 2) : Le GNU du risque https://archives.framabook.org/gknd-tome-2-le-gnu-du-risque/ Thu, 07 Jul 2011 10:22:25 +0000 http://archives.framabook.org/?p=3893 Lire la suite­­]]> Attention, le geek est de sortie  ! En plus, il a ammené des amis à la montagne. Une aventure digne des plus grands romans de la littérature épique.

couverture_framabook_gknd2

Les définitions illustrées du Geektionnerd, placées sous licence Creative Commons, réunissent depuis plusieurs années des lecteurs réguliers. Ces billets font intervenir un héros des temps modernes, appelé «  le Geek  », issu d’un mélange entre l’inspiration personnelle de l’auteur et sa biographie d’informaticien passionné de sciences et de nouvelles technologies. Cependant, d’autres personnages sont venus apporter une variation du même archétype  : «  le Nerd  » (avec les lunettes), que l’on pourrait définir comme une sorte de geek asocial, et plus tard «  la Geekette  », une version féminine (mais pas forcément féministe).

Sortie de son environnement naturel, notre équipe de geeks devra dans cet album affronter les «  vrais  » éléments naturels, dans un duel permanent avec l’hostilité montagnarde. Parviendront-ils à capter un réseau wifi au pied des pistes de ski  ? Réussiront-ils à rejoindre, au fond de la vallée, un rassemblement de geeks  ?


Titre : Geektionnerd (tome 2). Le GNU du risque
Licence : Creative Commons By Sa
Prix : 12 EUR
ISBN : 978-2-9539187-2-4
Première édition : Juillet 2011, Framasoft
Format : 210 x 270 mm
Nombre de pages : 50


photo Gee
Simon Giraudot est l’auteur du blog Geektionnerd.net et sévit aussi sur le Framablog, où son univers et son style ne manquent jamais d’apporter un brin d’humour geek sans toutefois se réserver aux seuls initiés.

À l’occasion des 12e Rencontres Mondiales du Logiciel Libre tenues à Strasbourg du 9 au 14 juillet 2011, le tome 2 du Geektionnerd connu un accueil fulgurant, aussi bien sur Internet que sur les lieux même de la manifestation où l’Auteur peinait à satisfaire toutes les demandes de dédicaces !

Interview de l’auteur

FB — Que raconte cette seconde aventure des personnages du GKND ?
SG — Cet épisode est un peu spécial car sort totalement les personnages de leur environnement naturel : c’est un peu « Les bronzés font du ski », si on parle de bronzage à l’écran LCD… Les deux coloc’ du tome 1 sont donc de retour, invités à un week-end de ski par leur amie geekette. À partir de là, on peut séparer l’histoire en deux : la première partie est classique, elle raconte un week-end de ski d’un point de vue un peu décalé, avec le passage obligé au tire-fesse ou la raclette du soir… La seconde partie est un peu plus particulière, c’est une sorte de « Man VS Wild » à la montagne, quand deux geeks sont perdus en pleine nature, dans la neige…

GéGé le Geektionnerd Creator

Créez vous même vos Bédés Geektionnerd !

FB — Pourrais-tu nous dire ce qui t’a poussé à rédiger ce tome 2 ? les retours des lecteurs du tome 1 ? on t’a encouragé ?
SG — Pour le plaisir de le faire, en premier lieu. Je m’étais bien amusé à faire le tome 1, c’est assez différent des articles habituels puisque je peux vraiment me lâcher sur une histoire complète. Les retours du tome 1 ont été très positifs, et je pense que ça faisait plaisir aux habitués du blog de reprendre l’histoire là où on l’avait laissée (les articles du blog n’évoquent que très peu les relations entre les personnages). D’ailleurs j’ai eu pas mal de commentaires de lecteurs impatients quand j’ai annoncé que j’avais commencé l’écriture du tome 2.

Enfin, ça me permet de faire une coupure : un article par jour, c’est parfois difficile à tenir (au niveau des idées) et la qualité des articles s’en ressent parfois. Quelques semaines sans définition (à part celles du Framablog le vendredi), ça me permet aussi de faire une pause de ce côté et de revenir avec des idées fraîches. C’est une alternance qui fonctionne plutôt bien, même si forcément, certains préfèrent les définitions habituelles et d’autres les histoires longues…

FB — Pourquoi cette histoire aux sports d’hiver, c’est du vécu ?

SG — Tout d’abord, il faut savoir que j’avais au départ un tout autre scénario en tête pour ce deuxième tome, mais il était trop complexe et venait trop tôt dans la série ; J’ai donc décidé de mettre l’idée de côté et de commencer par me faire la main sur quelques histoires plus simples. Le week-end au ski, c’était un prétexte pour continuer à installer le décor et les relations entre les personnages. Le fameux scénario écarté arrivera probablement en tome 4 (si je vais effectivement jusqu’au tome 4).
Pour ce qui est du vécu, j’ai déjà fait un peu de ski : le noobisme notoire en sport, les moniteurs insupportables, les écoles de skis qui te passent sous le nez… Après, je ne suis jamais personnellement parti en week-end de ski avec des amis, tout simplement parce que je n’aime pas spécialement ça (le ski hein, pas les week-ends entre amis). Mais quand tu arrives à Grenoble, tout le monde croit que tu as choisi la ville pour les montagnes et te pousses à faire du ski. Moi je trouve les montagnes très jolies mais je suis très bien en plaine ;)

FB — Est-ce une approche sociologique des geeks hors du contexte urbain et estudiantin ?

SG — « Approche sociologique », ça me semble exagéré, mais effectivement, le principal ressort de l’histoire, ça reste le décalage entre le bon vieux geek pantouflard et le rude monde de la montagne (et du ski, qui est quand même un sport !). L’idée était de ne pas tomber dans la copie du tome 1 avec une autre journée type d’un étudiant, de sortir un peu du cadre et de voir ce que je pouvais en tirer.

FB — Les geeks sont-ils capables d’une véritable histoire d’amour ?

SG — Bien sûr ! Déjà, on utilise tellement « geek » à tort et à travers que le mot ne veut de toute façon plus dire grand chose (je sais de quoi je parle, je l’utilise 12 fois par jour)… Si on le prend dans le sens « passionné d’informatique » (et/ou de sciences, etc.), j’en connais beaucoup, et la plupart sont des gens très sociaux (au sens propre, pas au sens Facebook) et assez éloignés du stéréotype du mec qui ne sort pas de chez lui. Avoir une passion pour quelque chose n’empêche pas d’avoir une vie à côté et de rencontrer des gens, bien au contraire. Et j’espère bien qu’on ne tombera jamais dans la caricature à l’américaine, du genre « les footballeurs sortent avec les pom-pom girls et les geeks avec leurs PC » !

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